J’écris plutôt bien, en quantité et en qualité, entre minuit et une heure. Quand l’esprit s’est vidé des questions de la journée, quand les tâches domestiques se sont calmées, quand tout le monde est couché et que je redeviens le maître solitaire de ce qui m’entoure.
Mon souci ? C’est profondément incompatible avec une vie de bureau.